^’’Il faut dès à présent protéger les atouts stratégiques de notre continent. L’Afrique a des ressources précieuses pour le développement de l’IA. Une jeunesse nombreuse et dynamique, des données génomiques culturelles et linguistiques d’une diversité exceptionnelle et des ressources naturelles critiques et rares. Ces atouts vont être naturellement convoités. Nous devons donc les protéger et les mettre en valeur. Nous le savons, la tentation pour certains sera grande d’exploiter ces richesses sans contrepartie, sans inclusion, sans éthique. Pour éviter cela Nos données doivent être mieux collectées ; structurées ; valorisées et protégées. Il faut le dire clairement, aujourd’hui, l’Afrique est un angle mort de la donnée globale.
Les données Africaines doivent donc contribuer à l’entraînement des modèles globaux tout en échappant à l’exploitation gratuite.^’’